« Les évènements actuels et leurs répercussions sur le prix de l’énergie nous rappellent que, dans l’Hexagone comme dans les îles, la résilience territoriale est conditionnée à un bon taux d’autosuffisance électrique », affirme Corinne Dubois, fondatrice de YS Énergies Marines Développement. Après quelques années d’investigation et de recherches au niveau européen sur ce qui manquait au secteur des énergies marines houlomotrices et hydroliennes pour « décoller » en France et à l’international, Corinne Dubois et ses associés -fondateurs créent YS Énergies Marines Développement en juillet 2021. Une première augmentation de capital en mars 2022 permet de faire entrer l’équipe de direction au complet dans le capital, ainsi que des compétences externes pointues.
Un développement sur les littoraux français, européens et internationaux
L’équipe, polyglotte, avec des expériences et des réseaux sur tous les continents, vise un développement sur les littoraux de France, d’Europe et du monde. « D’un point de vue concret, nous avons déjà commencé nos études de préfaisabilité sur plusieurs sites bretons et ligériens, et nous travaillons sur un large programme sur la Caraïbe orientale ». Un beau défi, tout comme le programme TWEC (Tahiti Wave Energy Challenge), incité par le « pays » de Polynésie française, porté par l’UPF (Université de Polynésie française) avec le modeste appui de YS Énergies Marines Développement, et qui a obtenu la labellisation BCI (Blue Climate Initiative) en mars, avec des lettres de soutien de Centrale Nantes, de France Énergies Marines, du Pôle Mer Bretagne Atlantique, d’ETIP Océan, d’Ocean Energy Europe, etc. « Ce programme promet une belle vitrine pour le secteur du houlomoteur et des EMR au global ».
Une équipe rapidement doublée
« Nous sommes aujourd’hui sept associés et nous préparons déjà ce mois-ci l’arrivée de notre personne en charge de la communication-animation et d’un jeune ingénieur ». Après la première levée de fonds prévue cet été, YS EMD a l’intention de doubler assez rapidement son équipe. « La résilience énergétique des littoraux a besoin de trouver ses solutions au plus vite avant 2025. Il ne faut pas chômer ! Nous avons une urgence climatique et énergétique à contenir autant que possible. Nous recruterons alors des profils de chefs de projets “littoraux”, ainsi que des fonctions transverses ».
La société d’ingénierie indienne AXISCADES Technologies Ltd s’implante à Saint-NazairePour en savoir plus sur YS EMD
« Nous sommes ravis de confirmer la poursuite de notre trajectoire de croissance sur le marché européen. Être proche de nos partenaires, comprendre leurs besoins et s’imprégner de tous les aspects de leurs besoins est notre priorité, et nous investissons du temps et des ressources pour y parvenir. Cette expansion est un moyen de mieux soutenir nos partenaires et de s’ouvrir davantage à un marché particulièrement réceptif à nos solutions technologiques innovantes. Nos implantations internationales représentent notre engagement stratégique à soutenir nos partenaires avec une équipe locale d’experts et de soutien », commente Arun Krishnamurthi, PDG d’AXISCADES Technologies Limited pour la France.
Les solutions proposées par la société d’ingénierie couvrent le cycle de vie complet du développement de produits, de l’évaluation du concept à l’assistance à la fabrication et à la certification. Dans le secteur aéronautique, AXISCADES intervient sur des activités de conception et de développement dans les domaines du support à la production, des réparations et de la documentation technique, et ce, à travers le monde.
« On trouve ici un véritable savoir-faire industriel et des compétences hautement qualifiées »
C’est à proximité d’Airbus, pour qui l’entreprise est sous-traitant de rang 1, que l’entreprise de Bangalore vient d’ouvrir un nouveau centre d’ingénierie. Pour Sudhakar Gande, directeur exécutif d’AXISCADES Technologies Ltd, « cette implantation présente de vraies opportunités en raison du fort potentiel industriel de la région, comme la construction navale et les énergies renouvelables, notamment l’éolien et l’hydrogène. On trouve ici un véritable savoir-faire industriel et des compétences hautement qualifiées. C’est une implantation idéale pour AXISCADES qui souhaite développer et diversifier son activité en France. »
AXISCADES prévoit le recrutement d’ici à deux ans de plus de trente-cinq ingénieurs et techniciens, qui seront amenés à travailler dans un contexte international. Initialement prévue en mars 2020, l’ouverture du centre d’ingénierie avait été reportée en raison de la pandémie Covid 19.
L’écosystème du transport maritime nantais accueille KnutsenPour en savoir plus sur Axiscades Technologies Ltd
« Nous avons actuellement douze navires-GNL (méthaniers) de 174 000 m3, en construction en Corée du Sud. Et nous allons très probablement augmenter la flotte de plusieurs navires supplémentaires », témoigne Jérôme Balay, Directeur d’Armement de Knutsen LNG France. « Tous ces navires navigueront sous pavillon français. Très modernes, ils seront équipés des dernières technologies : moteurs au gaz à injection électronique, système de bulles d’air sous la coque pour diminuer la consommation et les émissions de CO2, etc. ». Bien que construits en Corée, ces navires bénéficient de l’expertise de sociétés françaises, telles que GTT pour les cuves de GNL et Cryoastar pour les pompes cryogéniques. Le premier navire devrait être livré cet été, en août.
Une dynamique maritime forte
Plusieurs critères de poids ont pesé dans le choix de la Cité des Ducs pour l’installation de ce bureau Knutsen sur le Cours des 50 Otages. « Nantes est une ville très dynamique qui offre une qualité de vie agréable. Par ailleurs, notre secteur d’activité étant très international, l’accessibilité à un aéroport et une connexion rapide à Paris ont aussi été des facteurs importants dans notre décision. Ce qui a été déterminant, c’est la présence de compagnies maritimes et chantiers navals, avec son bassin d’emploi de cadres formés pour notre industrie. L’écosystème nantais sur notre segment de transport maritime est l’un des plus importants en France et les échanges avec nos collègues locaux sont assez récurrents et importants. Nous sentons une dynamique maritime assez forte sur notre façade atlantique ».
Une équipe de six personnes à Nantes
Le bureau nantais compte pour le moment six personnes qui préparent l’arrivée des navires. « Nous augmenterons réellement nos effectifs dès que nos navires seront en opération commerciale, avec des profils maritimes pour la maintenance des navires, la gestion des équipages et du personnel comptable. Nous ambitionnons également de recruter plus d’une centaine d’officiers français. Ils seront formés à notre activité localement et nous souhaitons, en ce sens, développer des partenariats locaux ».
Knutsen France cherche notamment à se rapprocher des écoles d’ingénieurs locales pour favoriser l’accueil de stagiaires. « La proximité avec des écoles d’ingénieurs, comme l’École Nationale Supérieure Maritime (ENSM) ou encore Centrale Nantes, est très intéressante, car nous prévoyons de proposer des stages pour former les étudiants et développer l’expertise française de gestion et de transport Gaz ».
L’écosystème industriel, notamment l’éolien, attire à Nantes le Danois CreadisPour en savoir plus sur Knutsen
Avec ce bureau tout juste ouvert à Nantes, Creadis ajoute la France à la liste de ses 18 implantations dans le monde. « Ce choix est avant tout motivé par le souhait de nos clients historiques, en particulier dans l’éolien offshore, de bénéficier de nos compétences au plus près de leurs équipes opérationnelles », commente Frédéric Miramalous, directeur du développement pour la France. Connue au Danemark sous le nom de DIS, la société d’ingénierie réalise près de 50 % de son chiffre d’affaires sur l’éolien, l’autre moitié étant répartie sur l’ensemble des marchés industriels comme les transports, les sciences de la vie, l’agroalimentaire ou l’électronique. « Grâce à nos équipes d’ingénieurs et de responsables de projets hautement qualifiés, nous livrons à nos clients des solutions clés en main, qu’il s’agisse de machines, d’équipements, de systèmes ou d’installations complètes. Notre expertise nous permet également de les accompagner sur leurs problématiques d’optimisation de produit et de process, de réduction des coûts, du management des obsolescences ou d’extension de durée de vie des produits ; à titre d’exemples, nous pouvons améliorer la conception du générateur d’une éolienne, rendre du matériel médical plus durable ou concevoir et installer des lignes de production d’une usine de biogaz ».
Une expertise acquise de longue date dans l’éolien onshore et offshore
Créée en 1997 au Danemark, berceau de l’éolien en mer, Creadis revendique une bonne longueur d’avance dans le domaine. « Nous avons accompagné en ingénierie et co-ingénierie les grands acteurs à la genèse de l’éolien. En 25 ans, Creadis a développé une expertise aussi bien sur le produit « éolienne » (turbine, pale, mât, systèmes divers) que sur les équipements de production, de tests, de transport et dispose ainsi d’une connaissance fine des performances de ces différentes machines onshore et offshore. Nous intervenons aujourd’hui sur toute la chaîne de valeur d’un projet éolien : spécification, conception, développement, production, assemblage, installation, plan de prévention, maintenance et démantèlement ». Creadis s’adresse ainsi à tous les acteurs de l’éolien, du fabricant à l’exploitant.
Prendre part à l’écosystème industriel local
La société danoise voit également dans l’ouverture du bureau nantais l’occasion de rejoindre un écosystème industriel dynamique. « Si l’éolien offshore est notre secteur prioritaire, nous souhaitons aussi nous saisir du potentiel de Nantes et Saint-Nazaire dans les autres marchés comme l’aéronautique ou la construction navale ». Frédéric Miramalous souhaite par ailleurs développer des partenariats avec les entreprises locales, notamment dans les domaines de la mécanique, l’électricité ou l’assemblage. « Nous recruterons progressivement des ingénieurs et des chefs de projet afin de constituer une équipe de référents techniques basée à Nantes ».
Industries créatives : Storm Studio secoue le design français depuis NantesPour en savoir plus sur Creadis
Storm Studio a été créé par Xavier Lamiche et Michaël Imbert, en 2013 à Paris, dans le but d’allier leurs expériences de designer intégré et en agence. « Nous avions pour volonté d’accompagner tout type d’entreprise, de l’idée jusqu’à la commercialisation, avec notre propre méthode U-S-I. Nous travaillons sur trois types de problématiques avec nos clients que nous appelons le design de cohérence : le design de marque, le design de produits et le design numérique », déclare Michaël Imbert, co-fondateur.
La force du réseau de la créativité
« Nous avons décidé, l’année dernière, de créer une série d’antennes locales pour nous rapprocher de nos clients. Nous avons choisi comme premier point Nantes pour son écosystème innovation très dynamique et développé. Ce qui a aussi fait la différence dans notre choix, c’est l’accueil et la force du réseau de la créativité ». Après une réunion d’information organisée à Paris par Nantes Saint-Nazaire Développement pour présenter le territoire, les fondateurs de Storm Studio ont bénéficié d’une journée découverte qui leur a permis de rencontrer les différents acteurs et services de la métropole nantaise. « Malgré le contexte covid, nous avons pu participer à quelques événements qui nous ont permis de développer notre réseau. C’est surtout le service de mise en relation avec les acteurs de l’écosystème Industrie qui nous a été très utile », témoigne Aurélie Marchesseau, « Bizdev » (pour Business Developper) de l’antenne nantaise. Aujourd’hui, l’équipe de Storm Studio participe activement aux différents événements et rencontres organisés localement.
Des projets ici et… à des milliers de kilomètres
Storm Studio a officialisé récemment un partenariat avec une entreprise montréalaise, Mayfair Village, menant des travaux dans l’intelligence artificielle et la chimie. « Nous souhaitons d’ailleurs participer à la prochaine délégation organisée par Nantes Saint-Nazaire développement à Montréal, car nous aimerions nous développer au Québec. Hong Kong est aussi une piste de développement à l’étranger ».
Conscients de l’impact des produits et services conçus
« Nous ne sommes pas une entreprise à mission. Toutefois, en tant que designers, nous concevons les produits et services sur le marché. Nous avons donc une lourde responsabilité dans leur impact ». Storm Studio cherche donc à écoconcevoir leurs produits et services et pousse ses clients à fabriquer en France. « Nous avons d’ailleurs plusieurs partenaires industriels en Pays de la Loire, que ce soit pour des matières biosourcées ou transformées. Et nous avons une démarche RSE qui implique l’ensemble de nos collaborateurs sur Nantes et Paris, privilégiant les modes de déplacement doux pour venir dans les locaux, les réunions, la cuisine sur place, l’optimisation du parc informatique et du stockage des données ».
Altior : un outil numérique qui facilite la gestion industriellePour en savoir plus sur Storm Studio
Nantes à la croisée du numérique et de l’industrie
Le projet de création d’Altior est né dans le grand ouest où tous les cofondateurs se sont rencontrés personnellement ou professionnellement. « Nous avons choisi de nous implanter à Nantes, car la ville et les structures qu’elle héberge sont à la pointe de la technologie et du numérique. C’est une ville qui nous permet d’élargir notre réseau et de disposer d’un vivier pertinent pour notre développement. C’était donc un choix, mais surtout une évidence compte tenu des opportunités que représente Nantes pour une startup du numérique dont l’outil est dédié à l’industrie ». L’équipe qui compte 15 collaborateurs est installée depuis plusieurs mois au Hub Créatic. « Nous sommes actuellement à la recherche de plusieurs profils sur la partie commerce, communication, consulting et développement ».
Une solution née d’un constat
A l’origine, Altior est née d’un retour d’expérience des fondateurs après plusieurs années passées auprès d’industriels. « La majorité des projets d’ERP échouent ou n’atteignent pas les objectifs fixés à cause d’une culture informatique et technique insuffisante pour dimensionner convenablement le coût humain et financier global du projet, de la mise en place de l’ERP à son entretien. C’est pourquoi nous proposons une solution plus simple à mettre en place et à maintenir, plus intuitive à utiliser, plus économique et plus facilement connectable », témoigne Simon Davigo, co-fondateur. En repensant complètement le modèle économique, la technologie et la démarche projet ERP pour les TPE et les PME, Altior a ainsi développé un ERP 100 % en technologie SaaS (c’est-à-dire hébergé en dehors de l’entreprise, dans le « cloud ») avec un prix d’abonnement tout inclus et une démarche standardisée. « La souveraineté numérique étant un sujet de plus en plus important pour les entreprises du secteur industriel, nous avons fait le choix de développer, héberger et maintenir Altior uniquement en France ».
Une levée de fonds en cours, grâce à l’écosystème local
Après une première année d’existence très orientée Recherche et Développement, la solution Altior connait un développement commercial fort en France sur sa seconde année. « Nous nous adressons principalement au marché français de la TPE-PME industrielle sur les trois prochaines années. Nous restons aussi opportunistes sur l’export, avec des clients déjà présents au Canada et en Europe de l’Est ». Un projet de développement technique et commercial comme celui d’Altior requiert des capitaux importants. « L’environnement nantais est notre appui pour envisager sereinement notre développement. Grâce au réseau et à des acteurs sensibilisés aux modèles économiques du numérique, nous avons eu très rapidement accès aux bons partenaires Business Angels et bancaires. Une levée de fonds est en cours et nous pourrons en dire davantage d’ici quelques semaines ».
Nutrition : BioMère choisit Nantes pour produire ses jus à base de kombuchaPour en savoir plus sur Altior
« C’est quand ma mère a connu de sérieux problèmes de santé que j’ai commencé à m’intéresser à l’alimentation saine », raconte Antoine Martin. Alors jeune ingénieur en géologie, il se prend de passion pour le sujet. « Je voulais comprendre pourquoi l’espérance de vie en bonne santé stagne, quel est l’impact de l’alimentation sur notre physiologie et comment conserver un état de santé optimal ». Tout en se formant à la micronutrition, il expérimente la production artisanale de kéfir et de jus naturels… et découvre le kombucha. Convaincu par ses propriétés nutritionnelles, il laisse tout tomber pour se consacrer exclusivement à sa production, rejoint dans l’aventure par François Verdier. Les deux créateurs se donnent pour ambition de populariser le kombucha et travaillent sur son aromatisation par l’ajout d’infusions et de jus naturels. « Exclusivement des ingrédients d’origine biologique et issus du commerce équitable », précise Antoine Martin.
Un label entreprise solidaire
C’est tout naturellement dans une vision durable que l’entreprise se construit. « Nous avons formalisé ce que nous faisions instinctivement en suivant le référentiel du label BioED ». Gouvernance, ressources humaines, empreinte environnementale, qualité du produit, ancrage local… toutes les pratiques de l’entreprise sont passées au crible de l’écoresponsabilité. « Des choix évidents mais pour autant pas toujours simples à mettre en œuvre » confie Antoine Martin. « Parce que le plastique n’était pas une option, nous avons opté pour des bouteilles en bagasse, issue de la valorisation de la canne à sucre, une solution plus coûteuse mais en phase avec nos valeurs ».
Leur engagement à participer à la création d’une société plus juste vaudra à BioMère d’être agréée Entreprise Solidaire d’Utilité Sociale (ESUS). « La promotion d’une alimentation plus saine et plus responsable est au cœur de nos statuts, et les bénéfices sont réinvestis dans le développement de l’activité ou la rémunération des salariés ».
Nantes : un écosystème propice à l’alimentation durable et à l’économie sociale et solidaire
Née en Ile de-France, c’est désormais dans la métropole nantaise que l’aventure se poursuit pour BioMère et ses douze salariés. L’entreprise emménagera en juin sur un site à Carquefou, près de Nantes. Ce nouvel outil de production lui permettra de passer de 20 000 litres de kombucha par mois à 90 000 d’ici trois ans. Un investissement de 750 000 euros, en partie financé par une récente levée de fonds. « Nantes a fait l’unanimité auprès de l’équipe : outre son écosystème riche dans l’alimentation, son avancée dans l’économie sociale et solidaire, elle a séduit les plus jeunes par son dynamisme et sa qualité de vie ». Une fois installés, les fondateurs auront à cœur de tisser des liens sur le territoire. L’entreprise a d’ores et déjà rejoint le réseau des Entrepreneurs bio des Pays de la Loire et se projette dans une levée de fonds auprès du réseau ABAB.
L’ESN lilloise ADN Consulting s’installe à NantesPour en savoir plus sur Jubiles
En 2015, l’un des fondateurs ne se reconnaissait plus dans les valeurs de l’entreprise de services numériques (ESN) dans laquelle il travaillait. Avec l’un de ses collègues, il décide de créer ADN Consulting, une ESN dont le consultant est le cœur. « ADN Consulting est née, en 2015, d’un constat simple : la société change, les mentalités évoluent et ces changements apportent de nouveaux modèles. Les nouvelles générations, Y et maintenant Z, qui n’ont peur de rien et se posent la question du pourquoi avant celle du comment, attendent autre chose », précise Cédric Clément, responsable commercial Nantes. « ADN Consulting est une structure qui, comme toutes les ESN, pose des bases, mais qui écoute, intègre et cultive la créativité, l’entrepreneuriat chez ses consultants. C’est un espace de création, un laboratoire en perpétuel mouvement, une passerelle entre le passé et le futur ».
80 collaborateurs en France, dont 20 à Nantes
« Nantes est une ville dynamique avec une belle communauté tech, située à 1 heure seulement de Lille et de la capitale. Nous nous sommes dit que c’était une bonne opportunité de rejoindre la Cité des Ducs. Nous avons trouvé nos locaux en coworking à La Chapelle-sur-Erdre, dans l’hôtel Kaliformia ». Avec 80 consultants répartis entre Lille et Nantes (dont une vingtaine à Nantes), ADN Consulting souhaite poursuivre son développement en recrutant une vingtaine de collaborateurs dans les 18 prochains mois, dans les domaines de l’observabilité, du testing, de l’infrastructure, de la direction de projets, de l’IT service management et du développement. « L’un des critères les plus importants lors du processus de recrutement, c’est la personnalité du candidat. Il faut que ça matche entre nous, que le candidat se sente bien et que nous sentions en confiance avec lui. Nous souhaitons recruter des candidats qui partagent nos valeurs ».
Faire grandir les collaborateurs
Dans la « famille » ADN Consulting, les « ADNien.ne.s » sont au centre des préoccupations de l’entreprise. « Nous avons coutume de dire que les fonctions supports d’ADN Consulting (RH, finances, opérations, communication, commerce, etc.) sont là pour nos collaborateurs, et non l’inverse. Notre objectif est de les faire grandir professionnellement. C’est dans cette optique que nous avons la capacité de les faire sortir de leur mission pour des formations, des labs ou pour différents projets. Ils ont également la possibilité de faire de l’intrapreneuriat et développer leur activité avec le soutien de l’entreprise, comme cela a été le cas avec « ADN up », une offre dédiée à l’accompagnement des services clients », conclut Diane Andrzejak, responsable offre ADN Up.
5 espaces de coworking au nord et à l’est de Nantes où il fait bon travaillerPour en savoir plus sur ADN Consulting
Work in top :
De l’anglais WIT (photo ci-dessus) qui signifie l’alliance de l’imagination, de la raison et de l’esprit sous le signe de l’humour, ce coworking situé au cœur de la Fleuriaye est niché au 3ème étage d’un ensemble de bureau. Vous trouverez à votre disposition 12 places de coworking, 4 bureaux privés, 2 salles de rendez-vous de 2 à 4 personnes, 1 salle de réunion pour 10-12 personnes. Vous pourrez également profiter de 2 terrasses avec une vue sur Carquefou, une salle de détente avec une télévision et une console de jeu, une cuisine ainsi que 2 cabines téléphoniques.
> Plus d’infos sur Work in Top
Hotel Kaliformia :
Et si vous travailliez à l’hôtel ? Situé à la Chapelle-sur-Erdre, Hôtel Kaliformia est un hôtel d’entreprise qui propose aux start-up, salariés de grands groupes, travailleurs nomades ou encore associations, des espaces de travail neufs et équipés. Ce centre d’affaire met à disposition 21 bureaux privatifs meublés de 10m² à 17m², 5 salles de réunion modulables et des postes de coworking équipés. Des espaces communs sont également mis à disposition : cuisine équipée, salle de détente, sanitaires avec un accès PMR.
> Plus d’infos sur Hôtel Kaliformia
Coethic :
Vous cherchez un lieu où vous pourrez travailler et recevoir vos clients sereinement ? Alors Coethic est le coworking qu’il vous faut. Situé à la Chapelle-sur-Erdre, c’est un lieu de travail partagé, convivial et écoresponsable, où sont mis à votre disposition 12 postes de travail en open space, 6 salles de réunion, des bureaux fermés de 12m² à 23m² et une adresse professionnelle pour recevoir votre courrier.
> Plus d’infos sur Coethic
Nantes Creatic :
Située au Nord-Est de Nantes, à proximité du périphérique, la pépinière d’entreprises Nantes Créatic accueille des créateurs d’entreprises (hors commerce). Cette pépinière, appartenant au réseau de pépinières gérées par Nantes Métropole Aménagement, propose des bureaux de 15 à 157 m², 2 salles de réunion et des ateliers de 80 à 163 m², ainsi qu’un espace détente et de documentation. Outre les locaux, les créateurs d’entreprises et les entreprises de moins de 5 ans peuvent bénéficier d’un accompagnement personnalisé pour bien commencer leur activité.
> Plus d’infos sur Le Creatic
Le Hub Creatic :
Le Hub Créatic, situé au cœur du parc d’innovations de La Chantrerie à Nantes, accueille des entreprises dédiées au numérique, en pépinière ou hôtel d’entreprises. La pépinière propose 6 espaces de réunion allant de 16 à 180 m² pouvant accueillir jusqu’à 200 personnes, des espaces partagés, des bureaux fermés, un espace traiteur et des équipements audiovisuels. Outre les locaux, les startups peuvent également bénéficier de services et de conseils d’accompagnement.
> Plus d’infos sur Le Hub Creatic
Numérique : Shodo impulse son modèle social à NantesDécouvrir la carte des espaces de coworking à Nantes Saint-Nazaire.
Shodo est une Entreprise de Service numérique (ESN) qui conseille, forme et accompagne les organisations dans la réalisation de leurs projets informatiques et l’adoption de nouvelles techniques d’ingénierie. « Notre valeur ajoutée est de faire du développement logiciel dans le respect des règles du Clean Code et du Software Craftsmanship, l’artisanat logiciel en français », explique Adrien Cruchon, cofondateur de Shodo Nantes, aux côtés de Thomas Carpaye, son associé. L’artisanat logiciel, c’est-à-dire ? « Quand l’un de nos membres intervient chez un client, en immersion, il participe au partage des bonnes pratiques de développement permettant l’écriture d’un code propre, évolutif, lisible et maintenable ». Du code dans les règles de l’art en somme.
Shodo, une entreprise libérée qui partage les bénéfices
« La justice sociale est au cœur de notre modèle : nous avons décidé de sortir du schéma où les meilleurs négociateurs sont ceux qui ont toujours les meilleurs salaires et avantages. Nous sommes dans une véritable démarche militante, avec une vision de partage et de transparence ». Ainsi, toutes les rémunérations sont basées sur une grille publiée dans les statuts de l’entreprise, accessible librement sur leur site web. « Une transparence également commerciale puisque nous dévoilons à nos clients la marge réalisée par Shodo lors de chaque mission. Celle-ci est fixe et, une fois atteinte, la totalité de la marge supplémentaire est utilisée pour financer des rémunérations variables, des jours de congés ou de veille supplémentaires pour nos membres ». Shodo prône aussi une transparence de la gouvernance. « Nous avons établi un pacte social où toutes les parties prenantes à l’écosystème sont en mesure d’appréhender les enjeux auxquels est confrontée l’entreprise. Résultat : nous avons un accueil très favorable de la communauté des développeurs. Nous recrutons principalement par candidatures spontanées et cooptations et nous n’avons pas besoin d’investir massivement pour chercher des talents ».
Nantes, territoire exceptionnel pour la Tech
« Nous faisons le choix de la croissance raisonnée », ajoute Jonathan Salmona, président et cofondateur de Shodo. « À Paris, nous avons atteint notre taille critique et nous allons désormais chercher la croissance à travers des filiales. Cette nouvelle aventure nantaise confirme notre volonté de prouver qu’un modèle social et équitable est possible ». Nantes s’est imposée comme une évidence. « C’est un territoire d’accueil et d’opportunités exceptionnel pour les entreprises de la Tech, un savant mix entre cadre de vie et possibilité d’évoluer dans un écosystème numérique très dynamique et toujours en développement », poursuit Adrien Cruchon. Après avoir accueilli ses premiers salariés en septembre 2021, l’équipe nantaise, installée à la Cantine Numérique et forte de 9 membres à ce jour, vise une quinzaine de membres à fin 2022 et une trentaine d’ici fin 2023.
Pour en savoir plus sur Shodo